La femme blanche

Avec La Femme blanche, Magali Chouinard pose un regard tendre sur la solitude en tant qu’espace privilégié pour multiplier les rencontres de soi. Faisant le pari du silence, de la lenteur et de l’absence de ligne narrative, elle donne le plein pouvoir d’évocation à sa poésie; captant l’attention et suscitant l’émotion chez les spectateurs par un enchaînement d’images et d’allégories.

La Femme blanche, c’est une présence et une intensité à fleur de peau; une poésie visuelle en contre-point du temps et de l’espace où le silence vient toucher l’âme.

En une succession de tableaux vivants, le personnage à la fois femme, enfant et vieille, loup et corbeau évoque la beauté de la solitude profonde.

MAGALI CHOUINARD a enseigné les arts plastiques pendant plusieurs années avant de retourner sur les bancs d’école à l’UQAM en 2006 pour un cours en mécanismes de marionnettes. Elle affirme être littéralement « tombée dans la marmite des marionnettes ». Les grandes préoccupations qui avaient marqué son parcours de création ont naturellement convergé vers les arts de la marionnette. Depuis 2011, sa création solo La femme blanche tourne au Québec, en Europe et en Asie.

Scénario, masques, marionnettes et interprétation : Magali Chouinard
Direction du jeu : Marthe Adam
Assistants à la création : Richard Morin, Emmanuelle Calvé et Jean Cummings

Crédit photo: Dan Davis.

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